Si je devais dire depuis quand je connais Françoise, je répondrais « depuis toujours ». Je pense d’ailleurs qu’elle le sait bien plus précisément que moi. Et je ne sais pas précisément dire, comment et par qui j’ai eu son contact la première fois.
C’est elle qui m’a sans cesse guidé par sa pratique de « réflexologue et bien plus encore », encouragé, stimulé, déculpabilisé et bien d’autres choses. C’est elle qui m’a guidé vers le jeûne en passant par la cure de raisin…. A chaque fois, quand elle me sentait prêt. On ne se sent jamais bousculé chez Françoise, ce qui ne veut pas dire que certaines petites souffrances physiques ou de l’âme ne sont pas réveillées sous ses mains expertes. Mais c’est toujours pour un « profit ».
Elle m’a donc aussi parfois poussé à ouvrir d’autres portes que celle de son cabinet. Pour simplifier je dirais qu’elle est à l’origine de biens de changements, directement ou indirectement. Je n’en dirai pas beaucoup plus. Sa discrétion numérique (voir ici un des seuls descriptifs impersonnel qu’on trouve de son activité) est à l’image de sa discrétion dans sa pratique, puisqu’on est amené à explorer, si on le souhaite des choses qu’elle fait remonter à la surface en douceur. C’est une expérience à découvrir certes, mais à vivre au long cours.
La date de publication de l’article est un clin d’œil à Françoise.